Publié le 3 juin 2024
Le monde du freelancing attire de plus en plus de professionnels en quête d’autonomie et de flexibilité. Cependant, il n’est pas toujours facile de franchir le pas. En effet, se lancer dans une activité indépendante ne s’improvise pas. Il s’agit d’un projet qui doit être mûrement réfléchi car il nécessite une préparation rigoureuse et une exécution méthodique.
Il s’agit de la première étape clé de la démarche. Un salarié doit prendre en compte un certain nombre d’éléments avant de se lancer :
Il lui faut en outre s’assurer qu’il peut se consacrer entièrement à sa nouvelle entreprise et se passer de ses revenus salariaux.
Pour un demandeur d’emploi, cette étape correspond à la recherche d’aides pouvant faciliter la création d’une entreprise : ARE, ARCE…
Le choix du statut est essentiel pour un freelance : il peut créer une microentreprise ou une entreprise individuelle (EIRL, SASU, EURL), ou encore, travailler en portage salarial.
Cette dernière option permet de tester la viabilité de son projet avec plus de sérénité, puisqu’il peut préserver son autonomie tout en bénéficiant de la protection sociale du salariat classique.
Dans tous les cas, il devra déterminer ses tarifs (fixer son TJM).
Le freelance ne peut commencer son activité qu’après avoir signé son premier contrat de mission. Mais pour cela, il doit s’engager résolument dans la recherche d’un client via les réseaux sociaux, et les plateformes spécialisées, et en se servant de ses relations personnelles et professionnelles.
Pour décrire son offre au prospect (après une première rencontre), le consultant peut rédiger une note d’intention. Ce document doit indiquer clairement les solutions qu’il propose afin de répondre à la problématique ciblée, ainsi que les méthodes et les moyens à déployer pour atteindre l’objectif établi.