Le freelancing, une réponse aux aspirations de la génération Z

Le rapport d’une étude récente sur la relation de la génération Z au monde du travail a montré l’intérêt croissant de ces jeunes pour le statut de freelance. En effet, cette année, plus de 7 répondants sur 10 envisagent de devenir leur propre patron dans un avenir proche.

L’épanouissement personnel avant tout

Cette étude concerne les Français de 16 à 26 ans, et leur relation avec le monde de travail. Elle révèle que l’épanouissement personnel et le bien-être financier, sont au cœur des préoccupations de ces jeunes : 40 % d’entre eux veulent avant tout toucher une rémunération plus élevée, et 26 % souhaitent diversifier leurs sources de revenus.

Ainsi, le freelancing leur permettrait d’améliorer leur situation financière et de bénéficier des conditions de travail flexibles. Près d’un tiers des répondants souhaitent en revanche « vivre de leurs passions et acquérir de nouvelles expériences professionnelles ». Par ailleurs, « une activité en freelance semble être plus stable que le salariat », pour un quart des membres de la génération Z ayant participé à ce sondage.

Certes, ils appréhendent l’absence de revenus réguliers et les difficultés éventuelles pour trouver des clients, mais ces contraintes ne les empêchent pas d’envisager de penser à se lancer dans les prochaines années. Outre le bien-être financier, un grand nombre de ces jeunes aspirent également à des métiers leur permettant de voyager et de gérer leur propre affaire.

Se positionner sur le marché en tant que freelance

Envisager de travailler en tant qu’indépendant est une chose, mais se positionner sur le marché en tant que tel en est une autre. Le consultant doit fixer ses tarifs en tenant compte de ses propres objectifs de rémunérations, mais aussi des pratiques du secteur, sans oublier les charges, les frais de fonctionnement et l’imposition.

Le TJM en freelance servira de base à l’élaboration des devis pour chaque mission. Mais en plus des éléments cités plus haut, il convient d’intégrer d’autres facteurs comme les jours non travaillés et la marge de négociation du client. À noter que le taux journalier moyen varie en fonction du secteur et de la nature de l’activité, ainsi que de l’expérience du professionnel.