Lorsqu’un consultant intervient sur un projet, il est tenu de remettre un rapport à son client à la fin de sa mission. Ce document ne se contente pas de détailler les tâches accomplies et les résultats obtenus. Il vise également à mettre en évidence la valeur ajoutée créée tout au long de la collaboration et à souligner le temps investi dans la réalisation de la mission.
La rédaction d’un rapport de mission doit respecter des règles précises. La première consiste à synthétiser les données recueillies au cours du projet, et à les trier afin de faire ressortir uniquement celles qui intéressent le plus le client.
Selon un expert, il est recommandé de se focaliser sur les indicateurs de performance pour simplifier la compréhension du document.
D’autre part, ce document doit aussi indiquer le point du départ du projet et montrer de manière précise son état d’avancement.
Le consultant pourra également évoquer les perspectives d’évolution ainsi que les étapes ultérieures possibles du projet. Cette approche vise à offrir une vision prospective à l’entreprise cliente, encourageant ainsi d’éventuelles collaborations futures.
Le rapport doit en outre comporter des analyses et des recommandations.
Dans le but de fluidifier la lecture, il convient de soigner la présentation. Pour cela, il est conseillé :
Le rapport peut revêtir divers formats, mais aujourd’hui, la majorité des clients préfèrent recevoir un livrable en version numérique, car celui-ci simplifie l’analyse et l’extraction des informations importantes.
D’ailleurs, plusieurs outils sont disponibles pour faciliter la présentation d’un rapport au format numérique, tout en offrant des possibilités de personnalisation en fonction des interlocuteurs.
Néanmoins, il est parfois nécessaire de compléter le document électronique par une version papier. Dans ce cas, il faut veiller à la cohérence entre les idées et les faits énoncés dans les deux formats.