Le gouvernement français, à travers le « trimestre anti-inflation », tente de freiner la hausse des prix dans les supermarchés. Cependant, une controverse surgit quant à l’efficacité réelle de cette initiative. Le ministère de l’Économie et l’association de consommateurs UFC-Que Choisir se livrent à une bataille des chiffres concernant les résultats obtenus.
Alors que l’inflation continue de peser sur le pouvoir d’achat des ménages, le gouvernement français a introduit une mesure appelée « trimestre anti-inflation » dans le but de contrer cette tendance.
Initialement, le gouvernement envisageait de créer un « panier anti-inflation » pour comparer les prix entre les enseignes. Mais face à la résistance des entreprises, cette idée s’est transformée en un « trimestre anti-inflation » qui a débuté le 15 mars.
Pendant trois mois, les principaux distributeurs français se sont engagés à offrir des réductions sur une sélection de produits de la vie quotidienne, allant au-delà de leurs promotions habituelles de printemps.
Sur la base des données fournies par la Répression des fraudes, la ministre déléguée au Commerce, Olivia Grégoire, avait affirmé le 10 mai dernier que « les prix des produits du trimestre anti-inflation avaient connu une baisse significative de -13 % en moyenne au cours des sept dernières semaines ».
Des chiffres biaisés, estime pour sa part l’influent groupe de défense des consommateurs, UFC-Que Choisir, qui avance des résultats plus mitigés.
Une analyse détaillée des fluctuations de prix a été réalisée par l’UFC-Que Choisir sur un échantillon représentatif de produits issus des paniers anti-inflation sur la période s’étalant du 23 mars au 10 mai.
Les résultats révèlent une augmentation moyenne de +1,5 % chez Intermarché, +1,4 % chez Casino, +1 % chez Système U, une stabilité chez Carrefour et une légère baisse de -0,3 % chez Auchan.
Le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, a critiqué la méthodologie utilisée par l’UFC-Que Choisir, l’accusant de manquer d’honnêteté.
Il affirme que « l’association a pris le 23 mars comme point de référence, ce qui est après le début de l’opération ».
Le cabinet d’Olivia Grégoire souligne que le « trimestre anti-inflation a été mis en place pour freiner la flambée des prix, voire les faire diminuer par rapport à leur niveau initial ».
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