Malmené par l’inflation, le pouvoir d’achat des ménages français, en particulier celui des familles dites « nombreuses », se trouve aujourd’hui au cœur des préoccupations des pouvoirs publics. Heureusement, ces dernières ont droit à divers coups de pouce financiers, et le gouvernement a récemment révisé à la hausse le montant de ces allocations en décidant de leur accorder des aides spécifiques.
Pour les familles touchées par la précarité, un nombre élevé d’enfants à charge peut rapidement devenir un fardeau lourd à porter.
Afin de pouvoir faire face à cette charge, les ménages modestes n’ont pas d’autres choix que de compter sur les aides gouvernementales ou sur l’accompagnement des associations humanitaires.
Devant ce constat, le gouvernement a décidé de mettre en place plusieurs mesures visant à soutenir financièrement ces familles défavorisées.
Ainsi, des aides spécifiques ont été lancées à destination des foyers avec trois enfants ou plus (âgés de 3 à 20 ans). L’une de ces aides, appelée « complément familial », s’adresse aux familles, dont les revenus sont inférieurs à un certain seuil, et ouvre droit à une subvention comprise entre 182 euros et 273,02 euros.
De plus, les ménages bénéficiaires des aides au logement peuvent prétendre à une prime de déménagement, dont le montant s’élève à 1 013,47 euros, auquel s’ajoutent 84,46 euros par enfant supplémentaire.
En plus de ces aides spécifiques, le gouvernement a également revalorisé le montant des aides existantes. Cela passe notamment par la redéfinition des plafonds de ressources pour la prime à la naissance, l’allocation de base et l’allocation de rentrée scolaire.
Ainsi, une famille avec trois enfants à charge et dont le revenu annuel ne dépasse pas 77 126 euros touchera dorénavant 318,99 euros par mois à titre d’allocations. Ce montant est majoré de 179,16 euros pour chaque enfant supplémentaire.
L’accès à ces allocations familiales est soumis à des conditions de ressources. Cependant, avec la révision à la hausse des plafonds de revenus, les bénéficiaires pourront désormais chercher un emploi mieux rémunéré, sans courir le risque de ne plus être éligibles à ces aides de l’État.
Dans cette quête d’emploi, le portage salarial est une option intéressante, car il permet au travailleur de démarrer immédiatement son activité sans attendre d’être embauché. Il lui suffit pour cela de s’adresser à une société de portage salarial et de signer une convention d’adhésion avec cette dernière.