La pandémie de coronavirus semble être entrée dans une phase « d’accalmie », l’occasion pour les autorités de revoir les règles établies en marge de la lutte anti-Covid. Ainsi, à partir de ce mois de février, quelques changements notables sont entrés en vigueur, notamment la fin de l’isolement systématique en cas de contamination ou encore celle du service « Contact Covid ».
L’isolement des personnes présentant des tests PCR positifs ainsi que celles qui sont entrées en contact avec elles, voilà ce qui était jusqu’ici préconisé afin de contenir la contamination.
Avec la baisse significative des nouveaux cas (passés de 20 000 par jour à 5 000 par jour en l’espace d’un mois) et des hospitalisations (passées de 25 000 fin décembre à 16 000 aujourd’hui), les autorités ont décidé de lever l’obligation d’isolement pour les personnes testées positives.
Le ministère de la Santé en appelle donc
« au bon sens de chacun pour ne pas oublier qu’il y a toujours un risque et que le mieux est encore de prévenir, et ce, par le respect des gestes barrières ».
Autre changement majeur en ce début février concerne l’inscription des personnes testées positives dans le système d’information « SI-DEP ». Désormais, elle ne se fera plus de manière systématique. Ceux qui tiennent le registre doivent au préalable demander (et obtenir) le consentement de la personne.
Le dernier changement concerne les arrêts de travail sans jour de carence. À partir de ce mois de février, le dispositif assurant une rémunération à ceux qui ont été contaminés et sont incapables d’assurer leur poste n’est plus reconduit.
La crise sanitaire a été, pour un certain, une dure épreuve, soit parce qu’ils sont tombés malades, soit parce qu’ils ont perdu leur travail, soit les deux.
Aujourd’hui, beaucoup se retrouvent à vivre de leurs allocations chômage. D’où l’importance de bien calculer le montant des indemnisations auxquelles on peut avoir droit. Pour ce faire, il suffit de procéder à une simulation chômage sur les sites dédiés.